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Le Collectif Les mots sont importants vous offre la preuve ultime des méfaits de la théorie du genre

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par Collectif Les mots sont importants
3 mars 2014

Des garçons qu’on va émasculer, efféminer, homosexualiser, et des petites filles, surtout, qu’on va androgyniser, garçonniser, tomboyiser : tout le monde a beau le nier, c’est bel et bien le projet des lobbies interlopes qui ont pénétré l’école. Un projet qui est même, à vrai dire, déjà en cours depuis fort longtemps – et nous pouvons le prouver !

La preuve, c’est sur le site Saphirnews que par hasard nous l’avons trouvée, et plus précisément dans un entretien avec Karima Mondon, professeur d’histoire et de lettres, également présidente de l’association Éducation en héritage. Cette femme attire en effet notre attention sur la dramatique évolution d’une célèbre icône jeunesse (personnage décliné en cartes, posters, films, poupées) : Charlotte Aux Fraises.

Représentée à l’origine comme une vraie petite fille bien féminine, à la tenue gracieuse et aux jolis bras minces, avec de splendides cheveux longs, un délicat chemisier à froufrous et une belle minijupe rose, Charlotte Aux Fraises est devenue au fil des années, à cause du lobby gender et de son emprise sur l’industrie du divertissement enfantin, une espèce de garçonne grassouillette à cheveux courts, portant des jeans et des tee shirts masculins et se tenant virilement les mains sur les hanches.

Jugez plutôt. La Charlotte féminine des origines :

Et maintenant, la Charlotte d’aujourd’hui, dénaturée :

Cela se passe de commentaires, mais allez tout de même lire la note qui suit, ici, là, cette petite note numéro 1 : [1].

Notes

[1En fait c’était une blague. Le jean, le tee-shirt et les cheveux courts, c’était la Charlotte du début. La longue chevelure, la minijupe et les minauderies, c’est la Charlotte d’aujourd’hui.

On vous laisse méditer – y compris sur l’opportunité, aujourd’hui, de réfléchir à l’école sur les stéréotypes de la féminité... Et c’est, d’ailleurs, ce que fait Karima Mondon dans l’intéressant entretien qu’elle a accordé à Saphirnews.