« Beurnadette Chirac est de bon conseil. »
« Moi je me sens proche des Franceus, mais peut-eutre qu’eux, ils ne se sentent pas proches de moi. »
« Pour moi, la feume franceuse, c’eut une feume de tradition, reuputée dans le monde entier pour son euleugance et sa fineusse »
« Je ne souffre pas de la célébrité, car je ne la sens pas. C’eut comme ce que dit Proust du mendiant : le mendiant ne souffre pas d’eutre mendiant, c’eut le passant qui souffre de le voir. »
« C’eut toujours treus agréable la révolution, c’eut une chose de la jeuneusse. »
« Le probleume c’eut qu’aujourd’hui, il n’y a plus d’interdits à briser. Alors il faut réinstaller queulques petits interdits, ne sereut-ce que pour que, pif, les jeunes générations puissent les feure sauter. »
« Mon mari, il donne teullement tout ce qu’il a, il utilise teullement tous ses moyens dans tout ce qu’il feut, il s’engage des pieuds à la teute, même amoureusement, et ça pour une feume c’eut tout à fait inédit, et pour un pays aussi c’eut tout à fait inédit. C’eut une chance pour les Franceus. Je ne dis pas ça pour feure de la propagande, ce n’eut pas de la propagande, c’eut un constat réaliste. Vous le conneussez, mon mari. Non ? Si vous le conneussiez, vous veurriez que c’eut réel. C’eut quelqu’un d’entier. »