Après l’ONU, Amnesty International, la Défenseure des Droits, c’est la presse étrangère qui s’inquiète du tournant autoritaire en France : la majorité macroniste s’en prend à tous les contrepouvoirs et les garde-fous – des syndicats aux associations antiracistes, de la presse au monde universitaire, de l’Observatoire de la laïcité au le Conseil constitutionnel, de la liberté de circuler à la liberté d’informer et à la liberté d’expression... Mais parce qu’il faut, à un moment donné, arrêter de parler et savoir aimer, nous nous abstiendrons d’en rajouter, et nous proposons simplement, en guise de divertissement, un édifiant récit de politique fiction.
À paraître en 2021.
La « Loi Sécurité Cosmique », et notamment son article 124, est controversée, mais finalement adoptée :
« Toute diffusion publique d’éléments biographiques sur la vie de jeune homme des ministres de l’Intérieur, notamment sur les accusations de viol à leur encontre et sur les abus de pouvoir et chantages sexuels qu’ils ont alors pratiqués, est interdite et punie de 10 ans de prison et 145000 euros d’amende, lorsqu’elle a pour but de porter atteinte à l’intégrité morale ou électorale de ces ministres. »