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Le cas Alain Soral

Dernier ajout : 16 juin 2021.

Tous les articles de cette rubrique

  • Les mains, les couilles et le trou du cul

    Retour sur le cas Soral, pionnier du renouveau viriliste

    par Pierre Tevanian 16 juin 2021

    « Remettre la couille au centre du débat » : c’est ce mot d’ordre pathétique, grotesque, mais apparemment porteur, que martelle dans ses vidéos un youtubeur nommé Papacito, qui défraie le chronique après ses appels au meurtre d’électeurs de gauche. C’est également le programme d’un autre fasciste bodybuildé, le dénommé Julien Rochedy, lui aussi youtubeur à succès, formé à l’atroce école du Rassemblement National et des vidéoconférences sur canapé d’un pionnier du genre : un certain Alain (…)

  • Les ennemis de nos ennemis ne sont pas toujours nos amis

    Réflexions sur le cas Alain Soral (Première partie)

    par Fatiha Kaoues, Pierre Tevanian 9 décembre 2004

    Auprès des chaînes de télévisions les plus racoleuses, qu’il courtise et qui lui prêtent une oreille complaisante, Alain Soral s’est forgé à peu de frais une image de contestataire et de provocateur. Mais la provocation est un art qui requiert une certaine subtilité, et la réflexion de Soral ne brille guère par sa sophistication - et encore moins par son originalité. Loin de bousculer les convenances ou un quelconque ordre établi, Soral surfe au contraire sur la vague du populisme le plus (…)

  • Les ennemis de nos ennemis ne sont pas toujours nos amis

    Réflexions sur le cas Alain Soral (Deuxième partie)

    par Fatiha Kaoues, Pierre Tevanian 9 décembre 2004

    Première partie
    Homophobie
    Au « macho » qu’il réhabilite, en tant qu’ « homme qui respecte sa mère, qui protège sa femme et se sent responsable de ses enfants », Alain Soral oppose « les demi-fiottes d’aujourd’hui » .
    Cette élégante formule nous conduit à évoquer l’homophobie maladive d’Alain Soral. L’écrivain stigmatise en effet la communauté homosexuelle, surtout masculine , chez qui il déplore « le refus de côtoyer l’ "autre" radical qu’est la femme », et donc le « repli (…)